La roseraie ...

Orianne mère des jumelles sicée de sicée, s'evantait a l'ombre d"une roseraie attendant son neveu, elle avait fait demander a ce qu'on lui apporte les papiers de son bureau... Afin de montrer a celui ci le contrat pr"nuptial qui était prévu ...

Dans l'attente ,elle réfléchissait comment aborder le sujet avec ces filles, puis repoussa cette pensée... Phillipe serait très bien y faire ... Il lui fallait maintenant trouvé un noble de haute lignée pour la seconde ... Elle réfléchit au genthilhommes célibataires du palais ...

Après s'être changé et avoir été dans ses appartements, le fourbe Marquis de Condor marcha d'une allure élegante et assurée en direction de la roseraie pour y rejoindre sa chère tante et accessoirement future belle-mère. Accesoirement ? Non, bien au contraire c'est un détail d'importance.

Il s'approcha d'elle, s'inclinant pour la saluer.

"Vous m'avez l'air bien pensive ma chère... Puis-je vous aider à vous libérer d'un quelconque tracas ?"dit-il sur un ton courtois.

Il avait à présent hâte de voir ses cousines et surtout l'une d'entre elle, son lien avec la puissance et la richesse.
Quel ignoble personnage n'épouserait une femme que pour la gloire dont il pourrait en tirer ? Ils ne doivent pas être nombreux mais Philippe en fait partit. A cet instant, aucune femme au monde n'aimerait être à la place de sa promise, sait-elle seulement ce qui l'attend ?

orianne sortie de ses pensées souriant en voyant son Neveu

-Non, je réfléchissait juste a qui pourrait convenir a ma seconde fille pour un mariage comme il se doit... Tenez j'ai fait chercher une copie du contrat ...

Elle tendit le document , avec un sourire entendu , le document contenait tout le baratin habituel avec dans les close que l'épouse apportait en dotte, le droit a la couronne si le regent de Montaigne mourrait, ainsi que deux terres de frances contenant deux mines l'une d'or l'autre de fer ... en Montaigne diverse établissement allimentant encore plus la fortune ... Aucun divorce ne pouvant etre stipulé en cas de ceci tout reviendrais a Sybélia... Ainsi que le titre de Comtesse de l"allée de Crieux qui reviendrais a la première fille né et dont la régence reviendrais au second fils né si toute fois plusieur enfants venait a naitre ... Les plus grandes clauses était intéressante mais Orianne avait pris le droit de sauvegarder quand même ses filles avec de tel mariage d'arrangement ...

Elle regarda Phillippe

-J'espère que ceci vous convient ... Voulez vous rejoindre vos cousines, elle ne doivent etre loin ....

Philippe de Condor prit d'un geste le document tendu et le parcourra assez rapidement regardant les grandes lignes, il y avait tout ce qu'ils avaient d'un commun accord convenu. Mais le marquis de Condor étant un homme précautionneux, préféra le lire plus tard dans les détails pour ne pas avoir de mauvaises surprises par la suite. Il fit alors demandé à un servant de monter la copie du contrat dans ses appartements.

"En effet, nous nous étions déjà entendu sur les closes de ce contrat et je n'ai donc rien à ajouter."

Lorsque sa tante lui parla du fait qu'il pouvait bientôt voir ses cousines il esquissa un léger sourire. Il n'avait que trop attendu.

"Bien entendu. Il me tarde de les revoir."

Il tendit son bras à sa tante pour qu'ils puissent arpenter le jardin pour les rencontrer.

Le jour tant attendu par cet odieux personnage était enfin arrivé, nous souhaitons tous qu'un concours de circonstances empêche cet homme d'agir selon ses horribles règles. Mais quoi de plus improbable qu'un changement dans ses plans.

Orianne prit le bras de Phillipe parcourant les jardin, la discution faite de civilité, au boutde longues minutes Orianne apercue enfin les pans de la robes de sa fille ...

Elle regarda Phillippe avec un sourire, ne sachant elle même les reconnaitre , elle préféra misé sur le mystère ...

-Tenez voici l'une de vos cousines accompagné de je ne sais quelle personnes ....

Orianne avait déjà vu quelques fois le dramaturge de loin et cette frequentation ne lui plaisait guere ...

(hrp suite donc la ou se trouve racine, jeanne et sybélia )

[hp reprise de ce topic pour en pas surcharger le forum]

Après avoir revêtue une somptueuse robe rouge et rouge foncé en velour, s'être coiffée, maquillée légèrement et un peu parfumée, la duchesse de Sablon s'était dirigée vers la roseraie pour s'y promener à sa guise. Apparemment tout les courtisants étaient autre part car elle ne croisat personne. Elle s'assit sur un banc, devant un massif de roses rouges et feu qui étaient en harmonie avec les tons de sa robe. Respirant le délicat parfum des roses, elle pensait à son voyage jusqu'ici et sa solitude maintenant...

Alors que la loterie avait était éprouvante, Sybélia, s'était levée assez tôt, pour aller se promener, avant de rejoindre l'église afin d'y faire ses services...

Dans sa tenue d'un terre ocre, le froissement des tissus, toujours coifée d'un voile laissant un flou sur son visage, elle se promena, sans songer a y rencontrer qui que cela soit...

Suprise, elle rencontra une jeune femme ayant la solitude lui portant au coeur

-Bien le bonjour Madame, voila bien une promenade bien matinale

Une jeune femme arriva dans la direction d'Adeline qui releva la tête. C'était une belle femme à la tenue ocre.Elle lui répondit:

"Bonjour, en effet. Je viens d'arriver à la cour et je me trouve bien seule alors j'ai pensée qu'une petite promenade pourrait égayer ma matiné. Mais j'oublis mmes bonnes manières, Adeline de Sablon, à qui ai-je l'honneur?"

*cette jeune personne a l'air épuisée... *

Adeline sourit à la jeune femme.

Sybélia, fut heureuse, de nouvelles tête, cela plaira a sa soeur, elle nota donc mentalement le noms de la jeune femme et son apparence, pour faire le récit a sa soeur ...

-Sybile Sicée de Sicée , il est vrai qu'a cette heure, si peu se promène, tous dorment, où s'affaire au prochain bal... Moi même me promène ici, qu'avant d'aller écouté le serment en le saint lieux de la cathédrale...

Puis, souriant, elle invita la jeune femme , a visité la ville, ce qui pourrait déjà lui donner plus de vie, qu'en ces lieux endormie

-La ville est quelques peu plus vivace, peut etre devriez vous, y venir, j'y vais faire emplettes après le serment, nous pourrons toujours y prendre le thé

"Mais j'en serais ravie! Rien ne me ferais plus plaisir."

*charmante demoiselle que voici, future amie?*

Adeline se leva grâcieusement et dit en marchant

"cela faite longtemps que vous êtes ici?"

Sybélia, attendit donc , la jeune femme pour terminée la promenade, en direction du carrosse, qui les mèneraient pour écouté le serment, avant d'aller fleureter en ville, comme toute jeune femme ayant aucune autre occupations...

-A vrai dire cela fait quelques semaines tout au plus... Mais tenter de calculer le temps n'est il pas la peur, de le voir filer, sans jamais le controler...

Puis tout en avancant, elle désira faire plus ample connaissance

-Etes vous venue pour affaires? pardonner si je suis indiscrete

"Je suis venue car ma famille a une charge à la cour e tma cousine, décédée récemment, devait y accéder donc je suis venue à sa place.Pour tout vous dire, je reste dans mon duché habituellement, c'est la première fois que je suis à la cour du roi mais je n'ai pas encore eu l'honneur de voir sa majesté.
Et vous pourquoi êtes vous ici?"

( hrp : tu sais que les charges pour les femmes a cette époque sont que religieuses ? ;p)

Sybélia écouta attentivement, toujours pour pourvoir retranscrire tout les évènements a sa soeur sans une erreur... Avec un sourire elle répondit

-Je sort récement du couvent, où j'ai parfait mon éducation. Désormais je réside près de ma mère, attendant le bon vouloir du destin... Quand a sa majestée, peut etre lors d'un bal où d'une chasse pourrez vous le rencontrer...

Sybélia avanca, lorsqu'elle arrivèrent vers le carrosse, elle fit un sourire a son interlocutrice

-Voici le carrosse, venez, ils nous déposera en ville près de l'église, avant que nous puissions faire nos emplettes

[hj a bon??g un book où on attribue des charges= des appart à la cour de france sous louis 14]

Je montait dans le carosse de mon amie après l'avoir écoutée.

"j'aime aller à l'église, j'y trouve une certaine quiétude....pour ça le couvent devait être agrable non?"

*des petites emplettes...que vais-je m'acheter??*

( hrp a oki tu parle des charges appartement, les charges achetés les charges, sont les tite qu'a une epoque on acheté aux enfants, pour leur donner un rang, comme certains devenait eclesiastique mais pouvait se marié, car c'etait une charge qui permettait que le gouvernement ne paye pas pour entretenir le saint lieux.. les homes ont des charges 'armes, eclesiastique et diplomatique, les femmes juste des charges religieuse ;p )

( hrp bis: ecrit plutot quand tu décrit a la troisième personne, c'est généralement ce que demande les forum, sa fait comme une histoire c'est plus simple a lire et aussi plsu agréable ;p)

Sybélia, monta dans le carrose a la suite de cette jeune personne qu'elle apprenait a connaitre

-Il est vrai que l'église est un lieu remplis de sérénité, quand l'homme ne vient pas commetre de crime...

Se souvenant de son attentat, elle eu une frimouse qui la fit frissoner, comme si une fois encore elle recevait le coup de poignard.. Puis revenant a la réalité

-Oui j'aimais le couvent, si ma mère ne m'avait rappeler a ses côtés, peut etre aurais je demander a prendre le voile, ce lieux était ellement serein loin de la corrumption de lexterieur

"prendre le voile est pour moi trop extrême. J'aime bien ma liberté alors me cloîtrer ne m'aurait pas plus."

Le carosse démara rapidement et Adeline se demandait si Sybélia lui poserait d'autres questions.

[hj merci pour ces informations]

Sybélia eu un sourire, peu de femme pouvait prendre le voile par vocation... Il fallait a cela bien des sacrifices, et une grande confiance en sa foi...

- Cela est compréhensible, et l'un des plus grand sacrifice qui aurait été dur , est je pense d'oublier mes promenade a cheval dans la fôret... Mais nous ne sommes pas si cloitrer... La cour est elle même un cloitre... Vous voyez il suffit de remettre parfois une autre vision pour s'apercevoir, que parfois où qu'on soit, l'enchainement sera de mise .....

Puis donnant l'ordre de démarrer le carrosse, il commenca a avancer, lorsqu'une des roues sembla dérailer, ce qui fit arréter le cochet immédiatement... Les deux jeunes femmes durent attendre que la réparation soit terminé

- Voila bien notre chance...Cela ne fait que retardé notre promenade, nous raterons peut etre le début de la messe, mais j'espère que nous pourrons quand même arrivé a temps...

Puis avec un sourire

- Avez vous des loisirs qui anime votre personne ?

"ma fois oui, j'aime les chevaux, la lecture, la peinture.Je crois que ce que je préfère est de monter mon cheval, nous voilà bien un point commun il me semble."

puis réagissant aux propos de Sybélia sur la cour

"Certainement, je crois que même dans le duché de mes parents je vois plus de monde qu'ici...la cour est si morne. Enfin, ne nous plaignons pas que sa majesté nous y ait invité. Je vous ai rencontré et cela est pour l'instant suffisant à me rendre heureuse aujourd'hui. J'espère que nous n'arriverons pas trop en retard à l'office...Et vous, vous connaissez beaucoup de monde à la cour? Y avez-vous nombre d'amis?"

La jeune femme souyriat, a sa compagne de route

-Effectivement, cela me semble un piint commun.

La jeune femme serait suprise de voir comment la cour pouvait etre tantot morne, tantot grouillant comme une fourmillière

-Vous avez là raison, quand a mes amies, j'ai est quelques une, mais mon arrivée récente et mes occupations, ne mont permise a faire beaucoup de rencontre, mais je pense que l'heure de l'office, ne sera point pris en retard sur notre petit accident

"tant mieux, même si je ne me ferais jamais soeur, je ne renie pas que la religion est importante pour moi. Je suis bien aise que nous nous soyons rencontrées Mademoiselle."

Adeline sourit à Sybélia tandis que le carosse réparé, elles remontaient dedans

Le carrosse repartait, et la duchesse Alienor devait encore dormir, pour louper leur rendez vous, mais Sybélia savait qu'elle la verait plus tard, cela n'était pas trop grave...
Mais la jeune femme fit un sourire

-Je vous rassure, la foi peut etre importante, mais heuresement pour nous, ce n'es point tous les hommes et femmes qui doivent s'enfermer... Sinon comment ferions nous pour vivre, chacun a sa voix, il suffit juste de savoir écouter les paroles du seigneur ...

Puis observant les jardin qui s'éloignait, la jeunne femme ne semblait connaitre personne , peut etre faudrait il lui présentait Alienor

-Lorsque nous rentrerons, j'essayerais de voir, si la duchesse Alienor n'est point occupée, afin de vous la présenter, vous verrez c'est une personne des plus appréciable

Adeline avait déjà entendu ce nom quelque part...il lui avait sembler entendre qu'elles avaient des points communs.

"Merci bien de votre offre. Ce sera avec plaisir que je rencontrerai l'une de vos amies."

La campagne défilait maintenant sous les yeux d'Adeline puis au loin on apercevait la ville. Le carosse y pénétra et s'arrêta à un endroit donné.

"Il me semble que nous sommes arrivés."

[hj la suite à l'évêché]