Poursuite

Il faisait nuit, Elrohir était poursuivie par cinq hommes. Il en avait éliminé deux, mais il en restait encore cinq. En général, il ne voulait pas se faire voire, mais cette nuit, il faisait tellement noir qu'il pouvait se permettre de courir dans la ville. Il arriva aux portes d'une Taverne. Il regarda derriere lui et il vit les hommes courir. Il avait le souffle court mais il décida d'enfoncer la porte et d'y entrer.

A peine il franchit le seuil de la porte qu'un homme lui attrapa un pied. Il tomba au sol. Il sortit un poignard et il lui coupa la main pour ensuite lui couper la gorge. Il se releva et vit des personnes paniquées. Il ne prit pas le temps de les rassurer qu'il se précipita vers la porte arrière

Il voyait maintenant la porte apres quelques minute de courses dans le batiment, mais les brigands devaient mieux connaitre cette place que lui, ils étaient tous entre lui et la porte. Sans crier gare, il sortit ses deux pistolets dans la courses et il tira dans la tete de deux brigands. Il se dépecha pour ranger ses pistolets et il sortit son épée.

Avant de plonger sur les hommes, il prit le temps de saisir une chaise et de la lancer, séparant ainsi les deux hommes. Il sauta sur une table pour ensuite se jeter sur un homme. Elrohir lui cassa le cou instantanément. Il évita de justesse le coup de l'autre brigands. Elrohir saisit le gilet de l'homme et il balança l'homme au travers de la porte. L'homme se releva et se précipita à l'intérieur. Elrohir l'esquiva et répliqua avec son épée, l'embrochant dans les poumons. Il le laissa tomber au sol, regardant la foule appeuré qui était venu vers le tapage...

Cassandre qui par précaution embaucher dans les cuisines et surveuiller l'auberge des hommes, afin d'intervenir en cas de problèmes...
Ainsi trois hommes sortir des cuisines, voyant le tapages, tandis que les filles essayaient de garder le controle... Les trois hommes vinrent aider l'homme en besoin ...

Berthe qui se trouvait au comptoir alla chercher sa maitresse, afin de l'avertir, sachant que le tappage n'allait point lui plaire....

Elrohir vit une femme partir à toute hâte. Il savait très bien le pourquoi de sa fuite. Il se serra les dents, disant qu'il devrait partir, mais il devait faire face à ses responsabilité.

Il ferma les yeux et il baissa la tête, comme un garçon qui s'apprete à se faire gronder. Mais cette fois, il n'avait rien fait, il n'avait que défendu sa vie, au périple de celle des autres certes, mais bon, rien n'était parfait dans ce monde....

Cassandre arriva, suivit de Berthe, la jeune maitresse des lieux était comme a son habitude masquée, elle vint devant l'homme qui avait causé la pertubation de son établissement ...

- He bien que ce passe t il en ces lieux !!!

Elle regarda autour d'elle , froidement, elle regarda les hommes a son service,

-Nettoyez donc ceci, berthe dit au filles de continuer leur travail... rien ne doit déranger les clients ...

Puis elle s'approcha de l'homme

-Vous suivez moi, nous allons nous expliquez dans un lieux plus propisces au conversation ...

Elrohir était fait comme un rat. Il ne pouvait pas vraiment ce sauver, son honneur aurait écopé. Il devait tout de suite évaluer la femme, savoir si elle semblait louche ou non. Bien des personnes travaillent en ce lieu, mais seulement pour l'argent. Il devait savoir si c'était son cas.

Il suivit la femme dans la batiment, prenant soin de ne pas rien briser d'autre. Il se sentait honteux, mais il devait faire face à ses responsabilités.

Ils entrèrent dans une plus petite salle, seulement tous les deux. Elrohir, avait pour la premiere fois, peur de ce que la femme allait lui dire. Mais il se dit au fond de lui que cela ne pouvait être pire que ce que le roi lui ferait s'il apprenait qu'il courtisait Héloise. Il attendit que la dame prenne la parole avant de parler

Cassandre qui était avec un client, avait a peine eu le temps de revetir un bustier plus conventionnel, l'echancrement de son corsage tait plus que tentateur, et par force d'habitude elle gardait dans ses mouvements ..

- He bien Messire, qu'elle est la raison qui peut ammener un mousquetaire a faire irruption et empecher le travail d'honnete gents ?

Elle lui fesait fasse, le fixant a travers son masque son regard glacier d'un gris antracite ...

Elrohir savait que la jeune femme était dans l'erreur. Il protesta:

- Je vous en prit, comment savez-vous que je suis mousquetaire? Je n'ai pas d'uniforme, pas de blason du roi, alors je suis surpris de vous voir savoir que j'en fasse parti. ET puis, je ne suis pas venu ici pour enqueter sur votre entreprise, j'étais en fuite contre des brigands. Je pensais pouvoir les semer ici, mais je me suis tromper, alors, si vous allez voir à la porte d'en arriere, vous verrez des cadavres, morts de toute évidence

Elrohir s'Avança vers la jeune femme. Il lui dit:

- ET puis d'ailleurs, quand on parle aux gens, on se découvre, dit-il en détanchant rapidement le masque de la femme.

Voila, ils étaient maintenant quitte, elle venait de le démasquer comme mousquetaire, et lui, lui démasquer le visage. Il esperait ne pas avoir été trop loin

Avant même qu'elle puisse répondre Elhorir avait essayé de la démasquée, mais habituée a faire attention aux hommes, elle giffla l'homme , se retournant ensuite vite fait ... sur un ton de colère , elle enragea

- Pensez vous qu'en ses lieux nous soyons pas informé, ne vous ballader donc vous point en ville ... Allons Messire voila la galanterie des mousquetaire , rabaisser des femmes qui luttent chaque jour pour survivre...

Elle resta le dos tourné , serrant les poings...

- Qu'en ais je a faire que vous veniez fouillez ici, que trouvriez vous ... A part des filles payer plus qu'il ne faut et bien éduquer qui ne meurt pas sous les coups d'ordures qui les prennent a même le mur d'une ruelle sombre ...

Puis elle détacha sa coiffure, prenant un ruban qui finissait le tressage de sa chevelure, le placant devant une partie de son visage, elle se retourna

- Si vous connaissiez comme certains de vos amis mousquetaires ses lieux, vous serez que beaucoup y trouvent renseignements... et que si certaines des jeunes femmes portent des masques, cela est pour leur permettre de ne pas etre juger le jour comme vous venez de le faire ... Partez ...

Elle se dirigea vers la fenetre regarda le jardin extérieur, elle ferma les yeux, sa chevelure retombant jusqu'a ses cuisses en boucles débène ...

Elrohir était sur le point de perdre patience. Il agita ses mains aux cotés de sa tete et il lui dit:

- Madame, essayez de comprendre, je ne suis pas venu ici pour vous espionner, j'étais poursuivi et je pensais bien pouvoir les semer ici, dans ce batiment. Il y aurait peut-etre quelques bonnes ames qui me seraient venues en aide. Encore une fois, je laisse les bonnes gens travailler

Elrohir en revenait pas:

- Non mais, êtes-vous bouchée ou bien vous êtes nez de meme?

Elrohir regarda le sol et il lui dit:

- Désolé, mes paroles ont dépassées ma pensée, désolé

Cassandre tournait toujours le dos, sa voix était moins colérique mais quand même exasperer ...

-Mes hommes ne vous ont ils pas aider... Ils sont payé a cela, maintenir l'ordre ...

Puis elle ouvrit la fenetre et sorti dans le jardin extérieur, prenant une cape avec capuche qui trainé devant l'entrée, elle mis la capuche afin de caché son visage ...
Elle voulait se calmer les nerfs... Cela ne servirait a rien de s'empourprer d'avantage

Elrohir posa sa main sur son front et il suivit la dame, lentement:

- Écoutez... madame, je ne veux pas nuire à votre travail, ni à celui des femmes ou des hommes ici. J'étais en fuite, je suis entré ici pour m'enfuir. Je n'avais pas l'intention d'espionner, ni de faire perdre la réputation à quelqu'un. Si j'ai fait du mal à quelqu'un, faite moi le savoir et dites moi comment je peux réparer mes fautes...

Elrohir osa de poser sa main lentement sur l'épaule de la dame, un geste purement pas sympathie. Elrohir avait déja sa flamme, pour qui toutes ces pensées allaient. Il avait hate de la retrouver d'ailleurs

Cassandre laissa la main sur son épaule dénudée, gardant la capuche pour masquée son visage qu'elle protéger depuis de rop nombreuses années..

Le mousquetaire qui apparement ne devait connaitre les lieux contrairement a ses condisiples, la fit sourire ...

- La prochaine fois faites donc comme vos amis, passé par la cour arrière, d'un ce trouve la bas toujours un homme qui garde , afin qu'aucun voleur ne vienne ou autre bandit, de deux cela évitera que vous ternissiez ma demeure , en fesant paniquer les clients ...

Il ne semblait pas méchant, mais juste fougeux, et ayant eu le malheur de tombé dans une impasse... Elle décida de s'adoucir, un mousquetaire comme tout les autres dans sa taverne aidé a ce que sa réputation qui pouvait attiré nombre brigand soit en sécurité ...

-Quand a vos missions, vous devriez faire comme vos partenaires, car contrairement a ce que beaucoup croivent, si la première salle est comme une simple auberge, certains brigands ne trainent jamais loin... Il est plus facile d'avoir les renseignements qu'on recherche que d'appeurer tout le monde ...

Se retournant , laissant apercevoir juste ses lèvres pulpeuse teinté d'un rouge profond , qui démasquée les dents d'un blanc éclatant ...

- La preuve n'est il pas que malgrès votre accoutrement je vous est reconnu... Pour d'autres brigands cela serait tout aussi facile... Vous devriez etre plus averti...

Elle marcha lentement vers une arche de rosier, sentant le parfum des fleurs odorante

Elrohir s'inclina légèrement et il lui dit:

- Je vous remercie pour ces remarques et conseils qui m'aideront à mieux m'en sortir, en vie du moins. Sérieusement, me voyez vous vraiment me comporter en brigands, en disant des sotisses et en maltraitant qui ose me tenir tete.... ce qui a déja été fait si je me souviens bien, les hommes à la sortie son la pour en témoigner....

Elrohir fit demi-tour et il se dirigea vers la porte:

- Si vous voulez que je paies ma dette, venez au chateau et demandez Elrohir De Verchères, je saurais répondre à l'appel

Cassandre eu un sourire, avant qu'il parte, elle tin juste quelques paroles

- Ne sortez pas par là, d'autres brigands vous y attendrait... Venez... et essayez de vous rapellez ce que je vous ai dit ...

Elle poussa une porte recouverte de feuillage laissant place a une petite ruelle...

- Quant a votre dettes tant que mes filles sont en sécurité, je n'ai rien a demandé au Nobles... Surtout pas aux hommes, qu'il soient de haute lignée ou non, ils restent les même, des animaux cherchant juste a trouver celle qui répondra a leur désir....

Elle se faufila a travers les buissons, ne laissant que son parfums dans l'air