Loin de tout...

Aprés avoir fuit Paris pour passer un moment de tranquillité dans les plaine,Isabelle marchait lentement sur un chemin qui longeait un champs de blé.Un bouquet de fleurs sauvage à la main,elle chantonnait un vieil air appris chez les gueux...
Elle révait...de Versailles,des dames de la cour avec leurs plus belles parrures...elle repensait à la proposition de la duchesse...elle aussi pourrait se faire passer pour une grande dame...
Les bruits de sabots qui martelés le sol la tirrère de sa rêverie et à peine eut-elle le temps de se retourner qu'elle se fit bousculer par un cavalier se retrouva à terre.
*Maudit soit-il.*

Elle se releva avec un peu de mal,une douleur se faisant ressentir dans sa cheville.

"Aie,je n'ai vraiment pas de chance."

Elle s'arrêta et ne pensant plus à sa chute repris son chant et sa rêverie de devenir un jour une dame de la cour de France et d'abandonner enfin se rôle d'Isabelle,princesse de la Cour des Miracle ou du moin se qu'il en restait.

Angélique avait décidé par cette journée fraîche de faire un tour à cheval ( moyen de locomotion auquel peu de femme s'y prétaient ) elle portait des habits de garçonnet empruntaient à mirmo l'homme qui travaillait avec elle. Elle s'y sentait plus à l'aise, et était dans les meilleurs prédispositons afin de poursuivre son ouvrage qui elle l'esperait, se ferait connaitre d'ici peu.
Elle emprunta un petit chemin, essayant de trouver un endroit calme et propice aux idées vagabondes; elle fit arreter sa monture pret d'un banc en bois, elle décendit et l'attacha à un tronc à côté. Puis s'empressa de défaire la neige accumulée sur l'assise.
Elle défit le chapeau qu'elle portait ce qui laissa echapper sa cascade bouclée de jais. Elle n'avait pas froid qcar elle portait un gros tricot blanc ; elle sortit un petit carnet et un fusain d'une des sacoches accrochée à la selle de son cheval qu'elle n'oublia pas de caresser l'échine avec affection. et s'installa enfin sur le banc afin de laisser libre cours à ses pensées ( se retrouver seule et pouvoir être elle même lui fit apprécier les heures passées en selle ! ) elle étendit ses jambes devant elle et ferma le yeux pendant que son cheval brouter les quelques herbes qui ressortaient de la neige.