Appartement de la Duchesse Helena D'Autwirtz.

Invité

Helena vêtut d'une magnifique robe de voyage en velour et satin bordeau observait ses domestiques qui s'affairaient a disposer les meubles et ranger ses vêtements dans ses armoires.
Une jeune employée agée de 16 ans n'allait pas assez vite a son gout.
Helena fronca ses beaux sourcils et lui dit :

Hum, Tu vas te dépêcher un peu oui? sinon je ne te verse pas tes gages de la semaine si tu continnus a trainer!

La jeune domestique sursauta marmona un "oui madame la Duchesse" et s'en alla bien vite.

Helena alla s'affaler dans un fauteuil et soupira l'air extenuée. Au bout d'une heure, Helena se sentit enfin chez elle. Elle renvoya tout ses domestiques sauf sa camériste. Une femme aussi aigre que laide a la pique facile.

Eliza, Apporte-moi ma robe en soie de chine, la dorée oui. Aboya-t-elle sur la camériste.

Celle-ci déshabilla sa maîtresse, lui passa sur le corps des huiles aux senteurs envoutantes de rose. Puis elle lui passa ses bas en soie ainsi qu'une fine chemise en lin brodée.
Elle lui passa les jupons et finit par lacer sa robe.
Elle présenta a sa maîtresse les souliers assortits que celle-ci enfila.

C'est bien. Tu fais du bon travail mais ne t'endors pas sur tes lauriers.

lui dit Helena en se regardant dans la glace pendant qu'Eliza lui passait des rubans assortit a sa robe dans ses jolies boucles blondes.

J'ai bien l'intention d'attirer le Roy dans mon lit, aussi il faudra que je soit toujours la plus belle.

Eliza hocha la tête avec un petit sourire. Elle lui accrocha autour du cou un superbe collier d'or et de diamant assortit a des boucles d'oreilles.
Helena jetta un dernier regard a son image, puis satisfaite se leva.
Au même moment, quelqun frappa a la porte.
Helena alla s'asseoire sur un fauteuil et attendit qu'Eliza fasse entrer la personne.

Invité

Helena D'autwirtz aprés avoir érrée plusieurs jours dans les rues de paris, gueuse parmis les gueuses, a bout de forces, rentra un soir dans ses appartements.
Les gardes eurent beaucoup de mal la reconnaître mais ils finirent par la laisser passée.

Elle tomba comme morte dans les bras d'Eliza, sa dévouée servante.
Pendant une semaine complète Eliza resta au cheveit de sa maîtresse quasi-mourante. Elle était pâle comme la mort, sur ses poignets et ses chevilles apparaissaient des marques de cordes. Elle avait quelques autres égratinures sur le corps plutôt étrange. Eliza la soigna avec un amour et une loyauté sans borne.

Au matin du 7ème jour Helena ouvra enfin les yeux et s'étira. Elle avait mal un peu partout et la tête lui tournait mais elle avait une faim de loup.

Helena réveilla avec brusquerie sa servante qui s'était endormie sur son fauteuil et lui aboya l'ordre d'aller lui chercher a manger.

Eliza fût contente, qi sa maîtresse était de nouveau méchante c'est qu'elle allait mieux. Elle revint avec un plateau copieusement garni dee tous les mets appréciés d'Helena.

Celle-ci les mangea avec gourmandise. Une fois rassasiée elle se leva et commenca a marcher parler le tout d'abord hésitant, puis au fur et a mesure de ses efforts tout celà se fit fermement et gracieusement.
Puis elle s'habilla, se coiffa, se maquilla, se parfuma et coula enfin un regard irrésistible sur son reflet.

Helena était enfin redevenue elle-même!

au moment où elle allait sortir pour enfin paraître a la cour, elle regarda Eliza et son regard se fit tendre:

Merci, toi seule peut me comprendre. Je ne pourrais jamais em paser de toi!

Puis, elle ouvrit la porte et disparue dérrière.

Invité

Helena suivit du duc arrivait du Salon Rouge.
Elle entra dans ses appartements et laissa Alexei entrer a sa suite.
Le petit salon précédant sa chambre a coucher était trés luxueux.
Dans l'âtre de marbre brulait un feu d'enfer, a l'image de son désir.
Devant, une table basse de verre et de bois ouvragé, de chaque côtés de celle-ci était deux canapé en velours violet.
Les tapisseries ornant les murs étaient des rayures de blanc et de rose pâle avec de trés fines rayures dorées.
Les boiseries était sublimement sculptées.
Un intérieure féminin et trés agréable.
Elle invita le duc a s'asseoire sur l'un des canapé puis elle s'excusa un instant.

Elle entra dans sa chambre où elle trouva sa fidèle domestique.
Celle-ci eut pour ordre de passer a Helena une autre robe plus aguichante.
Puis, une fois parée, Helena la congédia pour la nuit sans ménagement.

Ses douces épaules dénudées, un décoleté plongeant, Helena fit ainsi son apparition devant le Duc quelques minutes aprés.

Elle lui tendit sa fine main et lui dit dans un sourire:

-Appellez moi Helena mon cher.

Eh bien puisque nous sommes ici pour des confidences, je suppose que vous pouvez m'appeller Alexei...

Il but une autre rasade de vodka avant de déposer la bouteille.

Vos appartements sont charmants bien qu'un peu chaud...

La suite était certes inéluctable. Son appétit amoureux s'arma. Cette première nuit serait donc partagé avec une Prusienne. Ironie. Si loin de son pays...mais déja si près...On ne pouvait échappé au sort.

La Prusienne jouerait le rôle de ce genre de "refuse" qu'il avait besoin en pays si étranger.

Elle se disait amoureuse de cet esprit francais. Mais elle n'en n'avais pas fait les détours...elle avait senti le courant...et immédiatement elle avait laissé les passions agir et elles se combleraient. Cette simplicité était agréable. Il fallait profiter de chaque occasion, écouter son âme et son corps...

Il déshabillait déja la duchesse du regard. Mais lorsqu'il la déshabillerait il lui arracherait sa robe! Peu importe cela était facilement remplacable, mais le geste lui serait unique... elle sentirait cette "sauvagerie" si masculine comme une source d'érotisme naturelle et franche, et qui déculpait l'appétit sensorielle.

Invité

Helena alla chercher deux verres de cristal et les remplit de Vodka.
Pendant ce cour instant où elle se baissa afin de servir, elle offrit au Duc un trés bel appercut de ses charmes.
Elle se releva et tendit une des coupe a Alexei.
Elle la leva pour porter un toast et dit.

-A nostre nouvelle et, j'espère, longue amitiée...

Elle trinqua avec élégance puis, comme le voulaitla tradition en son pays, elle but cul sec.
Elle reposa donc la coupe sur latable basse en verre et s'assit sur le canapé en face d'Alexei.

-Chaud? vous trouvez? J'aurais plutôt penser qu'il faudrait attiser le feu...

Avec un sourire malicieux et désarmant elle regarda le Duc rougir.
De chaud? De soif? D'amour?
Elle ne le savait... en tout cas, certainnement pas de gène.
Elle ouvrit son éventail et fit mine de se rafraîchir.

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